La puissance de google
Je rentrais tranquillement chez moi après une dure journée de labeur (ben oui, quand on a arrêté de faire fonctionner ses neurones pendant un week-end prolongé de 3 jours, c’est pas évident de les remettre en route). Du coup, le soir, on est bien fatigué après tant d’infortunes (le monde est cruel me direz-vous, il serait temps que je m’en rende compte) et on décide de se prélasser en allant jeter un regard vide à son «espace d’expression personnelle», son blog, d’où qu’on s’emmêle parfois les pinceaux (enfin moi, j’veux dire).
J’allais donc bien sagement vous conter la suite des coulisses d’une «critique pour rire» quand, au détour des coulisses de ce même blog, je découvre, oh stupeur, qu’une collègue, la première, m’avait trouvée. Pas une collègue de bureau (ou alors je suis pas encore au courant), mais une collègue de critique. Oh étonnement ! Oh grâce du oueb ! Oh miracle de la toile ! (ne piaffez pas d'impatience, la suite arrive). Moi, Renée, sans bouger mon auguste postérieur de ma chaise et en lançant un message sur internet comme on jette une bouteille à la mer, j’avais réussi à nouer le contact avec une amie critique !
Là, dans un commentaire de mon dernier billet, elle était là, cette manifestation quasi-divine de la magie d’un monde virtuel, un commentaire d'Enna qui m’adressait la parole pour me dire : « je tombe ici au hasard de mes recherches google… Je fais partie du jury de Elle aussi » (vous pouvez aller vérifier c’est par là pour la suite).
Ni une ni deux, je fonce vers la requête en question (et oui, lecteurs, grâce aux instruments maléfiques mis à notre disposition par canalblog nous avons les moyens de pister chacun de vos pas et de savoir où vous êtes allés, combien de temps vous êtes restés connectés chez nous et si les billets vous ont fait marrer rien qu'à la tête que vous faîtes. Non, ce logiciel là n’est pas encore au point mais attendez que la vidéo envahisse votre chez vous et vous pourrez être épiés derrière l’écran de votre ordinateur). Mais si, vous savez, la société de Big Brother. Allez pas dire qu’on vous avez pas prévenu après ça. Pour ceux qui suivent rien à rien, c’est par ici.
Donc, en menant mon enquête, je découvre qu’en tapant uniquement « Prix des lectrices de Elle 2009 » sur google, on tombe directement en première page des requêtes, sur un petit bout de mon billet qui se gausse un peu de la Jacqueline. Mince me dis-je, pas de bol. Et si ma chef de « critique pour rire » était une webeuse addict. C’est que, je voudrais pas me faire pincer en flagrant-délit de moquerie. Allez Jacqueline, tout ça c’était pour rire. Promis. C’était pour faire monter les stats sur le blog, qui pour tout t’avouer sont pas très folichons. Heureusement que DQJM m’a hébergé chez elle avec ses billets à pleurer de rire sur sa grossesse parce que sinon, j’aurais que 4 ou 5 lecteurs réguliers (ma mère, mon père, mes sœurs et une grand-tante éloignée). En fait, Jacqueline, t’es super, continue comme ça, tes explications par courrier sont limpides, cela me permet d’avancer plus sereinement dans ma lecture et d’avoir en tête précisément un rétroplanning de mes missions. Tu m'en veux pas dis?
Bon avec tout ça, j’ai encore oublié de vous parler des règles du jeu de cette aventure de critique; ce sera pour la prochaine fois. Merci Enna pour ton petit message et à très bientôt j’espère !
Renée Duras vous embrasse