Ode à Jacqueline
C'est les yeux rougis, les doigts gourds et la tension à moins 15 que j'ai achevé mes critiques lundi soir de cette semaine pour la sélection d'octobre de mon magazine préféré du moment (ben oui parce que d'habitude c'est Lire mon canard préféré voyez-vous, mais là, il a fallu que je me mette à la page de la mod' attitude pour choper le ton Ell'itiste). Eh oui, faut vous réveiller vous êtes sur DQJM ! C'est à la pelle qu'on vous les offre les jeux de mots, à chaque billet, pour ne pas que vous vous déplaciez pour rien, non mais quand même.
Mais revenons à nos moutons plutôt. Je parlais donc de regard trouble et de désespoir d'avoir à me retrouver dans cet état en ce début de semaine. OK d'ac', j'exagère un chouilla car j'avais un peu anticipé tout de même et qu'il me restait surtout à peaufiner mes petits joyaux. Victor s'est retourné dans sa tombe à leur écriture, c'est vous dire. Mais j'vous vois venir tous autant que vous êtes... Pourquoi que j'vous en sers jamais de la critique puisqu'elles sont si marvellous? Eh bien oui pourquoi? Ben parce que. (Oui, en plus d'être bourré de jeux de mots ce blog est à haute teneur rhétorique comme vous pouvez le constater). En fait, la vraie raison, c'est que y'en a pleins d'autres qui le font très bien. Si les livres vous intéressent et que vous voulez comparer les avis au jour le jour, vous pouvez aller sur le blog de mes nouvelles amies critiques qui commentent en ligne la sélection: Amanda, Anna, Annie, Clochette, Emmyne ou L'empreinte des mots. Pardon à celles que j'oublierais mais j'ai pas encore fait le tour de la blogosphère....
Donc, je reprends le fil de mon histoire.
Épuisée le lundi soir, je me fends d'un message pour accompagner l'envoi de mon doc word comme on jette une bouteille à la mer... Je vous rappelle que mon premier envoi n'avait été suivi d'aucune réponse, rien encéphalogramme plat du côté de la rédaction de Elle. A croire que personne n'était de l'autre côté, que ce truc du prix des lectrices c'est juste pour faire s'abonner les filles qui ne l'étaient pas encore. Et puis là, oh miracle de la vie! La grande Jacqueline a consenti à me faire signe et à me répondre en personne. Oui, j'vous jure sur la tête de mes comparses de blog, DQJM et Hortense. Là, dans ma messagerie PERSONNELLE, m'attendait mon rayon de soleil de la journée pour me récompenser de mes heures d'acharnement. Une réponse complète à mes interrogations de jeune critique finissant par un bienveillant "bon courage pour la suite". J'en ai presque eu la larme à l'œil.
Merci Jacqueline...
Ta Renée qui ne peut s'empêcher de remettre ça en musique. Décidément j'adore ce morceau...
Découvrez James Hunter!